Mercedes EQB dans la ville des bonbons à la bergamote

Ceintures bouclées, nous sommes en route vers la ville des bonbons à la bergamote et l’ancienne capitale du duché de Lorraine – Nancy.

Au volant de la Mercedes EQB, l’autoroute française s’étend jusqu’à l’horizon. La position de conduite offre une belle visibilité sur la route. Aucun bruit extérieur ne perturbe l’atmosphère luxueuse et silencieuse qui règne dans l’habitacle de ce SUV 100% électrique, grand-frère de l’EQA. C’est comme si nous nous trouvions dans une réalité hors de l’environnement qui nous entoure, dans un univers première classe, caviar et champagne compris. Ne vous inquiétez pas, aucun risque de renverser la boisson, les très rares trous sur l’autoroute semblent se refermer éphémèrement devant l’EQB. On a l’impression de voyager sur un coussin volant. Rien ne perturbe notre voyage de luxe. A part peut-être la jalousie des autres conducteurs…

Affichant une autonomie d’environ 455 km, l’EQB peut nous rendre sceptiques quand on pense à la stature imposante du véhicule lors d’un voyage de 250 km aller-retour le même jour. Mais il ne faut absolument pas s’en soucier car après notre retour au Luxembourg, nous avions suffisamment de batterie pour aller au travail le lendemain.

Avec une longueur de 4,68 m, une largeur de 1,83 m, et une hauteur 1,67 m, l’EQB est la version électrique du GLB, qui a adopté les codes stylistiques spécifiques à la famille EQ de Mercedes. L’EQB est légèrement plus long que le GLB (4,63 m), avec 4,68 mètres de long. Il gagne également 2 cm en hauteur. Quant à la largeur, elle reste identique. Ce n’est pas la voiture la plus facile à garer, mais si l’on s’est bien débrouillé dans les parkings souterrains encombrés, on peut dire que l’EQB reste quand même un véhicule facile à déplacer. Bien évidemment, l’EQB est doté des caméras et capteurs, qui facilitent les manœuvres. De plus, il peut être facilement repéré dans les parkings, grâce à sa hauteur et son design robuste.

L’EQB est proposé en deux motorisations : EQB 250, avec un moteur à l’avant de 190 ch (celui que l’on a eu en test) et l’EQB 4Matic 350 doté de deux moteurs électriques qui développent une puissance combinée de 292 ch. Dans les deux cas, la batterie est de 66,5 kWh.

L’EQB 250 affiche une consommation d’énergie en cycle mixte [WLTP] : 16,5-17,8 kWh/100 km, atteint 0-100km en 9,2 secondes et a une vitesse de pointe de 160 km.

A l’intérieur, on reconnait immédiatement l’ADN élégant, pur Mercedes. L’interface MBUX est présente sur deux écrans de 10.25 pouces, intégrés sur la même dalle. Très réactive, intuitive, avec un graphisme esthétique, elle permet de gérer les informations de conduite, l’infodivertissement, et autres options relatives à l’expérience de conduite.

Les 250 km parcourus ont été accompagnés par une fatigue plutôt psychique que physique. Le confort et l’expérience fluide de conduite offerts par l’EQB ont contribué à un bien être global dans l’habitacle.

Dans l’ensemble, l’expérience avec la Mercedes EQB reste une belle aventure électrifiée. En pleine confiance, grâce à l’autonomie intéressante, même sur des trajets plus longs, et même en utilisant la radio et la climatisation !

Un beau choix pour les familles qui sont à la recherche d’un véhicule 100% électrique spacieux, sur lequel on peut compter aussi pour des road trips – Pas seulement pour des trajets en ville ou autour de la ville.

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